Taux de rendement : définition, calcul et interprétation

Le taux de rendement est un indicateur clé pour mesurer la performance d’un placement. Comprendre ses différents types, savoir le calculer et l’interpréter vous aide à faire les bons choix d’investissement. Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour optimiser le rendement de vos investissements.

Tout savoir sur le taux de rendement

L'essentiel

  Mesurer la performance : le taux de rendement mesure la performance financière d’un investissement.
  Plusieurs formes de rendement : brut, net, net-net et réel après inflation.
  Comparer les placements : le taux de rendement permet de comparer les performances des divers placements.
  Couple rendement-risque : plus le rendement cible est élevé, plus le risque l’est également.
  Rendement et rentabilité : deux termes différents à ne pas confondre.

Qu’est-ce que le taux de rendement ?

Le taux de rendement représente la performance financière d’un placement, exprimée en pourcentage. Il mesure le rendement par rapport au coût initial de l’investissement. Il s’agit d’un indicateur de référence pour évaluer la performance de son placement financier ou immobilier.

Le taux de rendement se calcule en rapportant les gains obtenus (dividendes, intérêts, plus-values) au montant investi. Il constitue un baromètre indispensable pour mesurer l’efficacité d’une stratégie d’investissement et suivre l’évolution de son patrimoine financier.

Un taux de rendement positif signifie que l’argent placé a généré un gain tandis qu’un taux de rendement négatif reflète une perte.

Tout investissement s’accompagne d’un taux de rendement. Celui-ci peut toutefois être désigné sous d’autres noms. Pour le livret A par exemple, on parle de taux d’intérêt. Pour la SCPI, il s’agit du taux de distribution.

Il est important de comparer les taux de rendement de différents placements afin de construire un portefeuille d’investissement performant. Cette comparaison permet notamment d’identifier les placements les plus rentables et d’optimiser l’allocation de votre épargne entre différents supports.

Toutefois, la comparaison des rendements doit toujours s’accompagner d’une analyse du niveau de risque associé à chaque placement. Un taux de rendement cible élevé reflète généralement des risques importants.

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Calcul du taux de rendement

Pour calculer le taux de rendement, il faut prendre en compte la valeur initiale de l’investissement, c’est-à-dire le montant placé, ainsi que sa valeur finale.

Voici la formule de calcul du taux de rendement :

Taux de rendement = [(valeur finale – valeur initiale)/valeur initiale] x 100

Par exemple, vous investissez 1 000 €. Un an plus tard, la valeur de votre placement s’élève désormais à 1 100 €. Cela représente un taux de rendement annuel de [(1 100 – 1 000)/1 000] x 100 = 10 %.

Il s’agit de la formule du taux de rendement brut de base. Elle ne prend pas en compte l’ensemble des éléments nécessaires à la détermination du rendement net.

Les différents types de taux de rendement

Zoom sur les nuances entre les différents types de taux de rendement afin de pouvoir évaluer correctement la performance de vos investissements. Chaque niveau de calcul révèle une facette différente de votre gain réel.

Rendement brut

Le rendement brut d’un placement correspond à sa performance brute, avant déduction de tous frais, charges et impôts. Il s’agit du calcul le plus simple et le plus couramment communiqué par les gestionnaires et les distributeurs dans leur documentation marketing.

Voici la formule de calcul : rendement brut annuel = (gains perçus sur l’année / montant investi) × 100.

Prenons un exemple concret. Vous achetez un appartement au prix de 300 000 € et vous percevez 15 000 € de loyer par an. Son rendement brut est de (15 000 / 300 000) x 100 = 5 %.

Cette mesure offre une première approche de la performance, mais ne reflète pas ce que vous percevrez réellement. Le taux de rendement brut sert principalement à comparer rapidement différents supports d’investissement ou à évaluer la performance théorique d’un placement.

Rendement net

Le taux de rendement net correspond plus précisément au rendement net de frais. Il représente la performance de votre placement après déduction de l’ensemble des frais.

Cette mesure est plus réaliste que le rendement brut car elle intègre le coût réel de votre investissement. Les frais peuvent en effet significativement impacter votre performance, quel que soit le placement financier ou immobilier.

Le calcul du rendement net est le suivant : rendement brut – [(total des frais / capital investi) × 100].

Reprenons l’exemple précédent de l’investissement locatif, avec des frais à hauteur de 3 000 € sur l’année. Le taux de rendement net est donc porté à 5 – [(3 000 / 300 000) × 100] = 4 %.

Rendement net-net

Le rendement net-net constitue un niveau de calcul plus abouti car il intègre l’impact de la fiscalité sur vos gains. Cet indicateur révèle effectivement ce que vous percevez réellement après impôts.

La fiscalité des placements varie considérablement selon le type d’investissement ainsi que votre situation fiscale personnelle. Certains placements permettent de bénéficier d’avantages fiscaux (PEA, assurance vie) qui améliorent significativement le rendement net-net.

Formule de calcul : rendement net-net = [(rendement net de frais – fiscalité) / montant investi] x 100.

Restons encore une fois sur le même exemple d’investissement locatif, avec des données simplifiées. On considère que vous êtes à la tranche marginale d’imposition (TMI) de 41 % et que vous optez pour le régime micro-foncier, qui intègre un abattement fiscal de 30 %.

Grâce à cet abattement, l’assiette imposable est de 15 000 € x (1 – 0,3) = 10 500 €. En prenant en compte votre TMI et les prélèvements sociaux de 17,2 %, l’impôt sur le revenu s’élève à 10 500 € x (41 % + 17,2 %) = 6 111 €. Voici donc le rendement net-net de l’investissement : [(12 000 – 6 111) / 300 000] x 100 = 1,96 %.

Le rendement net-net s’établit finalement à 1,96 %, soit moins de la moitié du rendement brut initialement annoncé.

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Rendement réel après inflation

Le taux de rendement réel prend en considération l’inflation. En effet, cette dernière impacte votre pouvoir d’achat. Cet indicateur détermine en quelque sorte si votre investissement vous permet de maintenir ou d’améliorer votre niveau de vie face à la hausse générale des prix.

Si nous conservons le même exemple, avec un rendement net-net de 1,96 % et une inflation de 2 %, le taux de rendement réel est négatif, à -0,04 %.

Un placement qui ne couvre pas l’inflation vous fait perdre du pouvoir d’achat, même s’il affiche un rendement net d’imposition positif. Notons néanmoins que cela reste préférable plutôt que de laisser dormir son argent sur son compte courant.

Le taux de rendement selon le type de support

Découvrez les taux de rendement de différents types de placements.

Actions

Le taux de rendement des actions combine deux sources de gains distinctes qui requièrent une approche de calcul spécifique. En effet, les gains d’un investissement en Bourse proviennent de deux sources principales :

  • Les dividendes, qui sont les revenus distribués aux actionnaires, le plus souvent une fois par an ;
  • La plus-value, qui représente la différence entre le prix de vente et le prix d’achat de l’action. Elle est réalisée lors de la cession de l’action.

Le rendement des dividendes est calculé de la manière suivante : (montant des dividendes / prix d’achat) x 100.

Puis, voici la formule de calcul du taux de rendement total des actions, prenant en compte les dividendes et la plus-value : [(cours final – cours initial + dividendes) / cours initial] × 100.

Prenons un exemple concret pour illustrer ces calculs. Vous investissez 100 € dans une action à dividende annuel puis vous la revendez au bout de 3 ans pour une valeur de 115 €. Sur cette période, votre investissement vous a rapporté des dividendes annuels de l’ordre de 3 €, 3,50 € et 4 €.

  • Total des dividendes : 10,50 € ;
  • Plus-value : 15 € ;
  • Taux de rendement total : [(115 – 100 + 10,50 €) / 100] x 100 = 25,5 %.

Notons que tous les types d’actions ne distribuent pas de dividendes. Attention également, le rendement des actions n’est pas garanti et peut être très volatil.

Obligations

Le rendement des obligations varie grandement selon le type d’obligation. Il peut provenir de trois sources différentes : les coupons (intérêts versés périodiquement), la plus-value et le réinvestissement des coupons.

Si on s’intéresse uniquement au rendement courant d’une obligation, il suffit de diviser la valeur du coupon par le cours de l’obligation et de multiplier le résultat par 100.

Cependant, le calcul est plus complexe lorsqu’on souhaite connaître le rendement à l’échéance, c’est-à-dire le rendement effectif de l’obligation, également appelé taux actuariel. Ce dernier intègre effectivement la plus-value ainsi que les intérêts composés acquis via le réinvestissement des coupons.

Notons par ailleurs que les variations des taux d’intérêt ont un impact sur le taux de rendement obligataire. Lorsque les taux d’intérêt montent, le prix des obligations baisse (et inversement). Cela influence directement le rendement total, particulièrement pour les obligations à long terme.

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Immobilier locatif

L’investissement locatif traditionnel constitue une classe d’actifs avec des mécanismes de rendement distincts des autres placements financiers. Le calcul du taux de rendement immobilier nécessite une approche méthodique pour intégrer tous les paramètres influençant la performance.

L’immobilier locatif génère des revenus à travers plusieurs paramètres :

  • Les revenus locatifs ;
  • La plus-value immobilière ;
  • Les économies d’impôts, selon le régime d’imposition choisi ;
  • L’effet de levier immobilier dans le cadre d’un financement à crédit.

Tout d’abord, il convient de distinguer plusieurs niveaux de rendements :

  • Rendement locatif brut

Formule : (loyers annuels hors charges / prix d’acquisition) × 100.

Cet indicateur manque de précision. Il est utilisé pour comparer rapidement les biens.

  • Rendement locatif net de charges

Formule : (loyer annuel – charges) / prix d’acquisition × 100.

Les charges correspondent par exemple à la taxe foncière, aux charges de copropriété et aux assurances. Le taux de rendement net offre une vision plus réaliste de la performance opérationnelle.

  • Rendement net-net (après fiscalité)

Formule : (revenus nets – impôts sur revenus fonciers) / prix d’acquisition × 100.

Il intègre l’imposition des revenus fonciers, qui varie selon le régime choisi entre le micro-foncier et le réel. Les déductions possibles sont donc prises en compte (intérêts d’emprunt, travaux, amortissements).

Immobilier locatif à crédit

Dans le cadre d’un investissement locatif financé à crédit, il faut également prendre en considération le remboursement de l’emprunt dans les calculs.

En outre, dans le temps, le rendement global de votre investissement immobilier peut varier grâce à l’évolution des loyers et à l’appréciation du bien par exemple. Pour cela, il est plus intéressant de conserver son investissement locatif sur le long terme.

SCPI

Les SCPI de rendement visent à distribuer des revenus locatifs réguliers, appelés dividendes, aux investisseurs. Le taux de rendement annuel des sociétés civiles de placement immobilier est couramment appelé taux de distribution (TD). Il offre un aperçu de la performance de la SCPI en termes de revenus distribués aux investisseurs.

Le TD est calculé de la manière suivante : (dividende brut annuel par part / prix de souscription au 1er janvier de la même année) x 100.

Prenons l’exemple d’une SCPI avec un prix de part fixé à 200 €, qui a distribué des dividendes annuels de l’ordre de 10 € par part. Son taux de rendement annuel est alors de 5 %.

Le taux de distribution moyen des SCPI en 2024 s’est élevé à 4,72 % selon l’ASPIM (Association française des sociétés de placement immobilier). Ce TD est communiqué net de frais et brut de fiscalité. Rappelons que les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

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TRI (taux de rendement interne)

Le taux de rendement interne des SCPI permet de calculer la rentabilité d’un véhicule sur une période donnée (5, 10 ou 15 ans par exemple). Il s’agit d’un indicateur plus complet que le taux de distribution, car il prend aussi en considération les frais de souscription et l’évolution du prix de part sur la période analysée.

Il faut par ailleurs prendre en compte la fiscalité des SCPI. Celle-ci varie selon la localisation du patrimoine de la SCPI (les SCPI européennes sont plus avantageuses) et évolue selon votre tranche marginale d’imposition (TMI) dans le cadre des SCPI françaises.

Dans le but d’obtenir le rendement global de votre investissement en SCPI, n’oubliez pas d’intégrer l’appréciation de la valeur des parts, c’est-à-dire la plus-value ou la moins-value réalisée à la revente, dans vos calculs.

Assurance vie

Pour rappel, l’assurance vie combine plusieurs supports d’investissement : le fonds euros et une grande variété d’unités de compte. Ainsi, le calcul du taux de rendement varie selon le type de support.

En ce qui concerne le rendement du fonds euros, il s’agit de ce que l’on appelle la participation aux bénéfices de l’assurance vie. Le taux de rendement moyen des fonds euros s’est fixé à 2,6 % en 2024 selon France Assureurs.

Quant aux unités de compte (UC), leur performance est liée aux supports choisis : actions, obligations, immobilier, matières premières, Private Equity etc. Le taux de rendement potentiel est supérieur à celui des fonds euros. Cela n’est toutefois pas garanti et les UC présentent un risque de perte en capital.

Pour obtenir le rendement net-net, il ne faut pas oublier de prendre en compte les frais de l’assurance vie ainsi que la fiscalité applicable. Rappelons d’ailleurs que la fiscalité de l’assurance vie est particulièrement attractive en cas de retrait sur un contrat de plus de 8 ans, notamment grâce à la présence d’un abattement annuel de 4 600 € (9 200 € pour un couple).

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Différences entre rendement et rentabilité

Bien que souvent employés de façon interchangeable, les termes rendement et rentabilité ne signifient pas la même chose. Le rendement mesure la performance d’un investissement sur une période donnée, exprimée en pourcentage du capital investi. Il s’agit d’un indicateur de performance pure. La rentabilité, quant à elle, évalue la capacité d’un placement à générer des bénéfices par rapport aux ressources mobilisées. Elle intègre une dimension plus large incluant l’efficacité de l’utilisation du capital.

Le rendement et la rentabilité présentent des approches de calcul différentes. Le calcul du rendement se concentre sur la performance brute et affiche une approche principalement quantitative. Quant à la rentabilité, elle intègre des éléments plus complexes et qualitatifs tels que le risque, la liquidité et la durée.

Il est préférable de privilégier le rendement pour comparer les performances entre investissements similaires et évaluer historiquement les gains réalisés. À l’inverse, la rentabilité est à privilégier pour obtenir une évaluation rendement-risque approfondie et pour effectuer une planification patrimoniale à long terme.

Pour un investisseur avisé, ces deux indicateurs sont complémentaires. Le taux de rendement mesure ce qu’il s’est passé et la rentabilité évalue si cela correspond à une stratégie optimale.

Comment interpréter et optimiser le taux de rendement ?

Découvrez comment aller plus loin dans l’interprétation du taux de rendement ainsi que des méthodes pratiques pour l’optimiser afin de faire fructifier au mieux votre épargne.

Les facteurs qui influencent le taux de rendement

Plusieurs éléments impactent directement le taux de rendement de vos investissements :

  • La durée d’investissement : plus la période de détention est longue, plus l’effet des intérêts composés joue favorablement.
  • Le niveau de risque : un rendement attractif s’accompagne nécessairement d’un risque élevé. Ce couple rendement-risque est fondamental en matière d’investissement.
  • Les frais et charges : les commissions telles que les frais d’entrée, de gestion et de sortie réduisent mécaniquement le rendement net de vos placements.
  • La fiscalité : l’imposition des gains varie selon le type de placement et peut significativement impacter le taux de rendement final.
  • L’inflation : quand les prix augmentent, votre argent perd de sa valeur d’achat. Un placement qui rapporte 4 % alors que l’inflation est à 3 % ne vous fait gagner que 1 % de pouvoir d’achat réel. Il est donc essentiel d’évaluer le rendement réel (rendement nominal – taux d’inflation) pour mesurer la véritable performance d’un investissement.

Les limites du taux de rendement comme indicateur

Le taux de rendement présente certaines limites importantes qu’il convient de connaître. Premièrement, cet indicateur ne reflète pas la volatilité ou le risque inhérent au placement considéré. Un investissement peut afficher un rendement attractif tout en étant soumis à des fluctuations importantes qui peuvent considérablement affecter la valeur du capital investi à court terme.

De plus, il est essentiel de garder à l’esprit que les rendements passés ne préjugent en aucun cas des performances futures. Cette règle fondamentale rappelle qu’un placement ayant bien performé historiquement n’offre aucune garantie de reproduire ces résultats à l’avenir car les conditions de marché évoluent constamment.

Par ailleurs, le calcul du taux de rendement peut être biaisé par des événements exceptionnels survenus durant la période d’observation, créant ainsi une image déformée de la performance réelle du placement sur le long terme.

Enfin, le taux de rendement ne tient pas compte de la liquidité du placement, c’est-à-dire de la rapidité et la facilité avec lesquelles vous pourrez récupérer votre argent en cas de besoin.

Une approche d’investissement équilibrée doit donc considérer l’ensemble de ces éléments parallèlement au taux de rendement pour prendre des décisions éclairées.

Nos conseils pour améliorer le rendement de ses placements

Voici plusieurs points d’attention à considérer afin d’améliorer le taux de rendement potentiel de vos investissements selon les conseillers en gestion de patrimoine de Fortuny :

  • Diversifier ses placements entre différentes classes d’actifs et zones géographiques afin d’optimiser le couple rendement-risque ;
  • Réduire les frais en privilégiant les supports à frais réduits dans le but d’améliorer le rendement net ;
  • Optimiser la fiscalité en optant pour des placements avec une fiscalité attractive. C’est le cas par exemple du PEA, de l’assurance vie et du PER ;
  • Dans un objectif de capitalisation, réinvestir les gains afin de profiter pleinement du mécanisme des intérêts composés et ainsi de maximiser les gains ;
  • Mettre en place un investissement progressif et régulier comme la méthode DCA en Bourse, par exemple, qui permet de lisser les points d’entrée et d’optimiser le rendement moyen sur le long terme.

Par ailleurs, pensez à comparer les taux nets et pas seulement les taux bruts généralement affichés par les gestionnaires ou les distributeurs des produits dans leur documentation commerciale.

Besoin d’aide pour optimiser vos rendements ? Nos experts sont à votre disposition pour vous accompagner dans vos choix d’investissement et vous aider à construire une stratégie patrimoniale adaptée à vos objectifs.

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